samedi, mai 11, 2013

Sani Girona

C'est avec beaucoup de tristesse que nous avons appris la mort de notre ami et collègue Sani Girona. Nous avons toujours admiré son énergie, son tempérament passionné et enthousiaste et  ses compétences incontestables comme professeur de FLE. Il possédait un esprit ouvert et il a toujours été très attentionné et disponible pour tout le monde.

Sani aimait beaucoup une chanson qui a comme titre "Youkali". L'idée de cette chanson est qu'il existe un endroit où le bonheur, le désir et l'amour partagé sont de mise. Sani, même si c'est dur pour ceux qui ne sommes pas encore à Youkali, nous voulons penser que tu y es finalement arrivé. Avec toi, pour toujours.

Youkali, c'est le pays de nos désirs
Youkali, c'est le bonheur, c'est le plaisir
Youkali, c'est la terre où l'on quitte tous les soucis
C'est dans notre nuit
Comme une éclaircie
L'étoile qu'on suit
C'est Youkali.




6 commentaires:

  1. Moi aussi , je voudrais lui rendre mon petit hommage à ce grand professeur et meilleure personne . Je suis triste aujourd'hui comme toi ma chère Marisol

    Merci Sani . Un bisou Marisol

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  2. Merci Sani, j'espère que tu auras trouvé ton Youkali!

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  3. Merci Sani! J'espère que tu auras trouvé ton Youkali...

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  4. Sani va nous manquer vraiment! Il était très enthousiaste et attentionné, il avait une énergie inépuisable pour travailler et promouvoir l'apprentissage du français à travers les TICE!
    J'avais participé et collaboré avec lui pour le concours de radio de l'APFC et dès lors on avait été toujours en contact.
    Je l'ai remercié alors et je le remercierai toujours.
    Mes meilleures pensées pour lui au pays de désirs et pour sa famille et toutes ses amitiés!
    Bisous!

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  5. Anonyme11:58 AM

    La disparition de l'ami Sani est une très mauvaise nouvelle. J'ai été d'autant plus choqué que je n'étais pas au courant de sa maladie ; je ne pouvais donc pas supposer qu'un homme si jeune pourrait s'en aller si vite.
    Il est vrai que les dernières années, Sani et moi avions perdu le contact. Mais il est vrai également que nous avions eu, à plusieurs reprises, de longues périodes d'une relation suivie et enrichissante, notamment l'étape pendant laquelle nous avons géré, avec beaucoup d'enthousiasme, l'APFC. Et il faut dire que, lorsque j'avais connu Sani à la Fac, en 1970 ou 1971, j'avais tout de suite compris que c'était quelqu'un d'exceptionnel, doué d'une intelligence rarissime, supérieure, et d'un énorme savoir-faire. Voilà pourquoi, lorsque je l'ai pu, j'ai essayé de jouir de sa compagnie, de son entrain et de son sens de l'humour...
    Dommage que les lieux communs s'avèrent souvent justes : c'est presque toujours les meilleurs qui s'en vont les premiers... Sani est parti et nous allons le regretter.

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  6. Anonyme8:33 PM

    Qué grande, qué buena persona.

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